William se réveilla de bonne heure, comme à son habitude. Il se rendit ensuite dans la salle commune et se posa tranquillement devant la grande cheminée qui trônait au milieu de la pièce. Se réchauffant, il était perdu dans ses pensées lorsqu'il entendit quelqu'un débouler en robe de chambre dans la pièce. C'était le préfet en chef des Serpentards. Il était dégoulinant de sueur, les cheveux en pagailles et un air affolé au visage. William tourna légèrement la tête vers lui, contrarié mais étonné.

- Dans la... grande sa... salle.. Vite... VITE !
- Qu'est-ce qui peut bien être aussi important pour descendre à cette heure?
- La chambre... La chambre des Secret... Une.. agression... Dépêche toi!

Et il partit en courant vers les dortoirs réveiller tout le monde. William n'y comprenait rien. La chambre des Secrets ? Rien de plus qu'une légende. Une agression ? Coïncidence. Néanmoins tout cela l'intriguait beaucoup. Il se leva avec toutes ces questions en tête et monta s'habiller. Il n'allait pas descendre en pyjama tout de même, il avait une certaine image à entretenir.
Quelques minutes plus tard il redescendit dans la salle commune, tout le monde était là. Tous en pyjama, pas coiffés, la tête endormie. Seul Tom était fin prêt, tiré à 4 épingles, comme à son habitude. William rejoint son ami et lui raconta ce que le préfet lui avait dit. Tom paressait aussi intrigué que Will.

Lorsque le directeur eût finit son discours, William n'en croyait pas ses oreilles. Une née moldue? Agressée ? C'était incroyable. Ces vermines étaient protégées par tout le corps d'enseignement de l'école. Malgré ses opinions concernant le sujet, Will était perplexe et inquiet. Il détestait ces minables de sang de bourbes, mais de là à les tuer ou les pétrifier... Et puis comme le disait si bien Tom, peut-être était il en danger lui aussi.

- Je ne penses pas non, répondit-il à à son acolyte d'un ton ferme. Tout le collège connait nos opinions, pourquoi s'en prendre à nous?

William paressait sur de lui comme ça, mais il ne n'était pas vraiment. Il ne savait que penser. Bien sur il avait l'intention d'agir lui aussi en faveur du sang pur, mais il n'avait pas prévu de le faire avant plusieurs années, lorsqu'il serait adulte et un puissant sorcier.
Ce qui le préoccupait le plus pour le moment c'était sa soeur. Elle était de sang mêlée comme lui. Elle courait elle aussi un danger. Surtout que les opinions de Cassidy divergeaient de celles de William et Tom. Tant que cette histoire ne serait pas réglée, il ne la laisserait pas seule.
William cherchait Cassi des yeux dans la foule, lorsqu'il l'apercut. Il indiqua à Tom de le suivre, et alla à sa rencontre.

- Tout va bien Cassi ? Tu n'a rien ?

Il était très inquiet pour elle.

Comme plusieurs nuits déjà je n’ai pas dormi cette nuit-là, bien trop absorbé par un livre de magie noir que j’ai réussis à me procurer. Mieux on connait le mal mieux on pourra la guérir. Mes yeux vert perçant figé sur le livre c’est à peine si j’entendais les rumeurs sur cette chambre. Vêtue d’un simple haut noir à manche long suivit d’un pantalon noir et d’une paire de chaussure… Bah noir. Je ne porte que du noir, je suis en deuil donc il le faut bien… Il n’y a plus que cette couleur dans mon placard.

C’est seulement une fois le livre fermé que j’entends ce qui s’est produit une heure plus tôt approximativement. Je range mon livre dans mes affaires personnel scellé. Et suit silencieusement la foule qui se dirige vers la grande salle. Tout le monde y est rassemblé j’écoute silencieusement les dires du directeur et hausse un sourcil. Tiens donc une élève pétrifier par la légendaire chambre des secrets ? Il ne s’agissait donc pas de fausse rumeur pour mettre le brouah ah dans les couloirs.

Ceci donnait donc très vite à la réflexion. Un sorcier qui défend la pureté du sang, qui pétrifie une sang de bourbe pour nous mettre en garde. Ça aurait été beaucoup mieux de la tuer… La pétrification peu ce guérir en quelque mois voir moins en créant une potion avec une branchiflore que nous avons en plus dans cette école. L’agresseur aurait dû le savoir on a étudié ça en deuxième année…

Bras croisé, pensif et fixant le sol réfléchissant au possible coupable de cette agression je remarque à peine ce qui peut se produire autour de moi ainsi que des murmure de crainte. Il n’y avait pas à s’affoler, ça à frapper une fois ce soir ça ne frappera pas donc une seconde fois. Ce genre d’attaque serait plus du style d’une mise en garde… Une prévention… Il y aura d’autre pétrifier, mais il y aura aussi un mort. Une élève afin de plus toucher les adultes… J’en suis quasiment certain. Je suis par contre très curieux de savoir qui est la personne qui est supposé être l’ascendance de Salazar Serpentard. Il faudrait aussi que je m’informe très rapidement de quel genre de créature serai capable de pétrifier une personne de la sorte… J’ai ma petite idée, mais je préfère en être sûr…

Cassidy suivait les élèves de sa maison pour le moins choquée, car la jeune fille qui avait été pétrifiée était à Serdaigle. Tout allait très vite dans sa tête … Pourquoi est-ce qu’on s’en prenait à eux ? La jeune fille ne le savait pas, le message sur le mur était pour le moins effrayant et le discours du directeur n’était pas rassurant. Elle entendit alors une voix familière l’appeler, et seule la bienséance l’empêcha de sauter dans les bras de son frère.
Cassidy était pâle, mais elle paraissait néanmoins toujours aussi sûre d’elle et sa voix tremblait à peine quand elle répondit à William :

« Oui, ça va. Je te remercie. Mais la jeune fille qui a été pétrifiée était à Serdaigle alors tout le monde est choqué … »

Elle désigna un groupe de jeunes filles qui étaient en larme. Probablement des amies de la victime. L’émotion de Cassidy n’était trahie que par ses mains qui tremblaient, mais elle était rassurée de voir William. Elle ne pouvait cependant pas s’empêcher de chercher du regard où se trouvaient ses amis …

Un petit dicton qui marche souvent de nos jours, l’avenir sourit à ceux qui se lèvent tôt. Je me lève très tôt comme toujours. Mais qui l’eut cru qu’un jour ça porterais préjudice à une pauvre élève qui voulait juste aller à la bibliothèque avant les cours. C’était tôt j’étais habillé d’un haut noir couvert par une veste kaki militaire avec des épaulières un jean noir coiffé à la one again comme diront les jeune du 21eme siècle, chaussé de randgers, je vais vers mon bureau pour préparer la salle comme toujours. Plus tôt on s’y met plus on est tranquille et c’est un confort DONT JE NE ME PRIVERAIS PAS ! NON MAIS ATTENDEZ VOUS CROYEZ QUOI ?! QUE JE SUIS LE GENRE DE PROF TOUJOURS EN RETARD ?! QUI N’EN FOU PAS UNE ?! Non mais je rêve, en plus cette année les circonstances font qu’il va falloir que je sois volontairement débordé. Pourquoi ? Bah pour éviter Lizzie, je l’aime mais… Comment dire… C’est plus réciproque. Je l’ai quitté donc bah la seule raison qui fera qu’elle s’approche de moi ce sera pour une vengeance. Donc je préfère me déborder de travail histoire de ne pas y penser.

Mais ce matin-là un truc bien zarb et bien glauque. Déjà on toque à ma porte alors qu’il n’est même pas encore l’heure du petit déjeuné. La baguette en poche flemme oblige j’entre ouvre la porte moi-même et fait les yeux rond avec un sourcil haussé. Ces pauvres filles n’avaient même pas besoin d’ouvrir la bouche qu’il était facile à deviner qu’un truc pas cool dans le style grave vient de se produire. Aillant la baguette sur moi TOUJOURS PARCE QUE OUI ON A BEAU ÊTRE A POUDLARD JE RESTE SUR MES GARDES ! ET PRENEZ-EN DE LA GRAINE ! Ouais bon je ferme la porte derrière moi et le fixe sérieusement ce qui me donne… Mh… involontairement un air froid.

« Où est l’élève ? »

Un peu en panique… Tsss… En panique… NON MAIS ELLES ONT RIEN SUIVIT A MES COURS ! PREMIERE CHOSE A FAIRE !!! G.A.R.D.E.R T.O.U.J.O.U.R.S. S.O.N. S.A.N.G F.R.O.I.D !! Va falloir que je sois un peu plus sévère à mes cours visiblement. Ouais bon en gros par la panique de ces élèves ont trottine jusqu’à la bibliothèque… Attends… LA BIBLIOTHEQUE ?! Putain de merde… Y’a intérêt à ce que ce ne soit pas Lizzie. Parce que l’agresseur il va manger cher, mais vaut mieux garder son sang-froid. Je doute que ce soit elle, elle en a pas l’air physiquement mais elle sait se défendre. Et bien mieux qu’on ne le pense.

Puis de toute façon ce n’est pas Lizzie, mais une élève immobile comme une statue... Dans les air. Zarb, glauque on a clairement cherché à faire peur la. On pouvait pas la rater. Premiers réflexe je vérifier son pouls avec ce même air calme et froid. J’examine la petite et en vient à une conclusion que je dis à voix haute histoire de rassurer les deux élèves qui m’accompagne.

« Elle est en vie, et juste pétrifié. »

Je tourne la même vers la porte et fronce les sourcils sur ces inscriptions de feu sur la porte de la bibliothèque. Donc le gars en a après les née moldu… Quel bâtard…ça me rappel quelqu’un… Enfin en tout cas j’en connais une qui serai ravie quand elle verra sa en se levant. Vaudra mieux que personne ne soit présent à ce moment-là. Au moins je saurais TRÈS vite si elle va bien. Je porte doucement l’élève pétrifié après avoir délivré du sort qui la fait flotter et fixe les élèves.

« Restez avec moi on sait jamais ce qui peut encore arriver, on va à l’infirmerie. »

D’un pas rapide et décidé j’emmène la petite à l’infirmerie qui est rapidement prise en charge. Mon hypothèse a été juste elle est pétrifié les plantes de mandragore vont enfin servir à quelque chose. J’ordonne aux deux autres de rester avec leur amie et prend les choses en mains. Tout d’abord je préviens le directeur qui décide de réunir tous les élèves à la grande salle. Chose complètement stupide celons moi quand on se rassemble tous on pourra mieux nous avoir qu’éparpillé. Mais bon, c’est lui le dirlo, il est con il est con ce n’est pas de ma faute. Du coup comme je l’appréhende, la zizanie ce fait une fois que ces incompétents de préfet son prévenue. On parvient tant bien que mal à rassembler tout le monde en mode majoritairement ‘’tête dans le cul’’. Une fois tous rassemblez notre chèèèèère directeuuuuuur à l’EXTREEEEEME INTELLIGENCE….  *inspire un grand coup*DESEMERLAPANIQUECOMMELESOUHAITEL’AGRESSEURENPANIQUANTLUIMÊMEETENFAISANTP
ANIQUERTOUUUUUUUUUTLESAUTRESENPARLANTD’UNELEGENDEGLAUDEQUIFUTLASEULEHYPOTHE
SEQU’ONAITPUFAIREDUDRAME ! NON MAIS IL EST VRAIMENT CON ! A merde oublié de mettre les espaces… Bon ben bonne chance pour lire, la flemme de vous la refaire correctement. Baguette en main n’aillant pas changé mon air calme et froid depuis le début, j’attends et reste sur mes gardes en cas de perturbation, ou d’attaque, même si la probabilité de perturbation par la panique est plus probable qu’une attaque. Mais sait-on jamais… On est tous rassemblé ici et sa peut avoir un inconvénient tout comme un avantage…

Dieu que Druella détestait le matin. C'était peut-être même le moment qu'elle détestait le plus de la journée. Devoir se lever, se préparer, prendre son petit déjeuner... Et tout ça pour quoi? Pour aller en classe ! Et elle voyait déjà sa matinée se transformer en cauchemar. Bones allait encore l'interroger, l'obligeant à se mettre en avant, ce qu'elle détestait par dessus tout. Si elle pouvait rester au fond de la salle, à lire tranquillement en attendant que ça passe, ça l'arrangerait énormément ! Mais elle savait que ce ne serait pas le cas. Néanmoins, son premier cour de la journée allait être largement compromis.

Les préfets de Poufsouffle avaient rassemblé tous les élèves dans la salle commune, au grand étonnement de Druella. Elle se contentait de suivre le mouvement, mais déjà les plus folles rumeurs commençaient à poindre dans les rangs, et, avalant difficilement sa salive, elle commençait vraiment à avoir peur. Quelqu'un c'était attaqué à une élève née moldue...? Mais c'était horrible !

Bien qu'elle soit de sang pur, Druella ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter. Lorsqu'ils pénétrèrent dans la grande salle, la jeune fille se dirigea instinctivement vers l'un de ses seul vrai ami, Nicolas Clark. En allant le rejoindre, elle se tourna subtilement vers la table des Serpentard, et vit que Tom était encore accompagné de son abrutit de copain. Druella tourna rapidement la tête, rejoignant son ami à qui elle sourit.

Salut, Nico... Tu as entendu ce qui s'est passé? Des élèves disent qu'une troisième année s'est faite pétrifier...

Le directeur commença alors à parler et confirma la rumeur. Druella était subjuguée. Instinctivement, elle attrapa le bras de Nico qu'elle relâcha presque instinctivement, avant de devenir rouge écarlate. Elle se tourna de nouveau vers la table des serpentards, mais Tom n'y était plus. Il avait rejoint, avec son ami, la soeur de ce dernier, Cassidy. Plissant légèrement les yeux, elle se retourna, une petite moue au visage. Soudain, elle se rappela que son ami Nicolas était lui aussi enfant de moldus et, un peu inquiète, elle lui dit.

Ca va...?

Elisabeth Brooks, la bibliothécaire était là, toujours impeccable. Ses cheveux blonds tombaient en boucles parfaites sur ses épaules, son tailleur n'avait aucun faux pli, à l'instar de son visage. Elle paraissait imperturbable, même si elle était profondément chamboulée et pour cause. Elisabeth Brooks était elle-même une née-Moldue mais ce n'était même pas ce qui la perturbait le plus : c'était que le crime avait eu lieu non loin de la Bibliothèque et qu'elle n'avait rien vu. Ca n'avait pas été faute, pourtant, de se retrouver planquée en embuscade près de la réserve armée d'une tapette à tapis pour savoir qui, de ces petits morveux, essayait d'entrer dans la Réserve la nuit. Et comment. Bref, l'amoureuse de l'Ordre et de la discipline étant quelque peu perturbée par le chaos ambiant se tenait près des autres professeurs.

Seule une chose trahissait sa nervosité : elle avait oublié de mettre une boucle d'oreille d'un côté. Cherchant des yeux quelques élèves qu'elle avait repéré comme étant agréables dans la bibliothèque, elle se sentait soulagée dès qu'elle les voyait. Notamment la petite Galbraith, ou encore Clark, qui était à Gryffondor comme elle lorsqu'elle était élève d'ailleurs.

Drucilla, comme tous les matins, se levait très tôt. Elle n'avait jamais eu besoin de beaucoup de sommeil et l'air matinal l'appelait tous les jours, pour un jogging beau temps, mauvais temps. Après une heure, elle retourna dans sa salle commune prendre une douche et se préparer. Sortie de sa salle commune, un préfet paniquer dirige tout les élèves elle inclu vers la Grande Salle. Soudain, le directeur annonça qu'une élève de Serdaidle avait été pétrifiée et parle aussi de la légende de la chambre des secrets qui serait ouverte.

* C'est peut-être Galbraith, si j'ai de la chance...Ça me donnera des vacances *

Croisant le regard de la Serdaigle, une moue déçue se dessina sur son visage. Toutefois, son sang se glaça dans ses veines en apprenant qu'il s'agissait d'une sang de bourbe. Eh oui autant que Drucilla se plaisait à mépriser les nés moldus, se disant de sang pur. En elle aussi, coulait du sang impur, comme elle disait. Son père, cet homme infecte et cruel. Un moins que rien qui allait finir par payer tout le mal qu'il lui avait fait à elle et sa mère, faisait de la Serpentard une sang mêlé.

La Serpentard resta un moment sans bouger, regardant un point fixe devant ses yeux, perdue dans ses pensées. Drucilla eu un pincement au cœur sachant que la victime aurait pu être elle.

Oui bon et alors quoi ? Vous n’allez tout de même pas me dire qu’on nous a tous rassembler ici pour nous prévenir ça et attendre que le temps passe ? Je n’ai pas que ça à faire moi. Et ça papote et ça papote, sa dit ses crainte et tout la patatranc. Moi personnellement je me fiche complètement de cette histoire, je suis sang pur et c’est bien fait pour la sang de bourbe. Ces bandes de sauvages qui ne méritent en rien une place parmi nous. C’est limite si je n’aurais pas envie de savoir qui s’est afin de pouvoir le remercier comme il se doit. Mais là n’étais pas la question prioritaire. La première question que je me pose tout d’abord, c’est pourquoi nous avoir rassemblé ici. Parce que franchement, si c’était juste pour nous dire qu’une élèves est pétrifié et qu’une légende existe peut-être, ça pouvait attendre au petit déjeuné, ou alors les cours genre c’est les profs qui prévienne mais nous rassembler pour si peu… Je commence franchement à perdre patience.

Il ne me reste alors qu’une solution… semer une petite pagaille et en profiter pour sortir. La bibliothécaire est là en plus, c’est du coup le meilleur moment pour prendre un livre ou deux dans la réserve. Parce que c’est bien beau de lire les bouquins dans le manoir ou je vis, mais livres des nouveaux livre sur la magie noir c’est encore mieux. Les mains dans les poches j’adopte une mine inquiète et me murmure à moi-même de sorte à ce que les élèves autour de moi m’entendent.

« Bon sang… Mais pourquoi rester ici ? A tous se rassembler comme ça il y aura plus de chance que le coupable nous tue tous d’un coup… »

Je pince les lèvres.

« Tout le monde est ici… Du coup ça veut dire que le coupable est parmi nous… Bon sang… On est dans la merde… »

Après cela j’entends des murmures de panique du style « mon dieu mais il a raison » ou d’autre murmure du genre « tu as entendu les murmures de Marcus ? Même lui il est inquiet…. » Jusqu’à ce qu’on entende un cri d’un élève.

« NON JE NE VEUX PAS MOURIR ICI ! »

Tête basse je laisse échappée un petit sourire satisfait lorsque cette élève commence à semer le trouble dans la grande salle. Des élèves l’entoure essayant de le calmer mais  en vain, une grande majorité d’adulte porte leur regard sur lui, j’en profite donc pour m’approcher de la porte l’air de rien. Mais les choses on décider de se produire autrement. Je n’ai pas eu le temps d’ouvrir la porte qu’elle s’ouvre brusquement, le concierge paniqué se tenais la devant tous immobile en l’attente qu’il dise quoi que ce soit, lui et son air paniqué et pale.

« Un … Un … Il y a un monstre dans les couloirs !! »

Je ricane doucement, ça se passe encore mieux que je ne le pensais, du coup c’est la panique générale. Les élèves se mette à crier à paniquer à courir dans tous les sens, le concierge essayant de garder son calme ne remarque pas que j’ai profité de l’ouverture pour sortir évitant de justesse le concierge qui a rattrapé un autre élève sans me voir. La créature qu’a signalée? À quoi bon ? Je suis sang pur je ne risque rien. Je laisse donc derrière moi ces peureux et chouineur à leur affolement et rode prudemment dans les couloirs directions bibliothèque.

AH bah nous voilà tout beau ! Quand je disais que ce n’étais pas une bonne idée de tous les rassembler ici. En plus avec le directeur qui met 30 ans à ordonner aux élèves les nouvelles règles suite à cette agression. C’était la raison DE BASE de les avoir convoqués ici quand même ! MERDE QUOI ! Ce directeur sincèrement… Il me désespère… à un point… Mh ouais non on ne va pas en dire plus. C’est fou ce que tout le monde peuvent perdre leur sang-froid pour une simple élève paralysé. Elle n’est pas morte que je sache. BORDEL !! Même Lizzie et perturbé !! Comment ça ça ne se voit pas ? MAIS VOUS NE VOYEZ PAS ?! LA BOUCLE D’OREILLE QUI LUI MANQUE ! Une perfectionniste comme elle oublié et critère de beauté aussi important ? Non non je vous assure elle est perturbée la minette. Elle est sang de bourbe et donc en dangers et sa c’est produit près de la bibliothèque donc ça peut se comprendre.

Mais ELLE au moins elle garde son sang-froid pas comme ces stupides élèves qui se mette à crier qu’ils ne veulent pas mourir ALORSQU’ILNESEPASSERIENBANDEDEMOULEDESSECHER !! Non mais sérieusement c’est quoi leur problème ? Oui certes c’est débile de nous rassembler au même endroit. Mais ce n’est pas comme s’ils avaient été seuls contre le possible danger qui risque d’arriver seulement à quoi… 20% ? Je me pince l’arête du nez yeux fermé tête au sol au faisant un non de tête désespéré par les élèves qui commence à paniquer pour je ne sais quel raison. Pas d’humeur à les séparer trouvant que c’est bien fait pour le dirlo’ avec ses conneries je laisse faire, voyant que ce n’est pas un danger potentiel.

Mais visiblement on est rempli d’idiot pas foutue de faire les choses correctement. Quand on voit que c’est la panique déjà de BASE ! Je vous dit pas mon soupir d’exaspération quand le concierge entre en mode panique ouvrant GRAAAAAAAAAAAAAAAAAAND LA PORTE histoire qu’un élève puisse sortir tout pour en plus hurler qu’il a vu un monstre. La panique générale en deux fois pire, super. A l’aide de ma baguette j’empêche un élève de sortir et ferme la porte (sans remarquer Marcus et Hagrid bien sur y’a trop de monde). La bête est décrite par la voix pratiquement inaudible de l’idiot de concierge et  comme toujours, le très chère directeur incapable de prendre une fois de plus une décision. Je penche la tête en arrière et sort un bruit étrange semblable à un poltergeiste (ça ne vous rappel pas la mani d’une même autre personne ? Un certain… Edgar ?) pour exprimer mon agacement. J’inspire un grand coup et murmure.

« Bordel mais fermez la… »

Je fixe tout le beau monde et pose ma baguette sur ma gorge et crie.

« FERMEZ TOUS VOTRE PUTAIN DE GEULE LES LARVES !! »

Une fois la pièce silencieuse je fais craquer mon coup n’étant pas d’humeur.

« Vous allez tous gentiment aller dans votre salle commune respective en suivant les profs et vous y resterez jusqu’à ce que je décide que vous pourrez sortir. Pas de cours de matin vous me pétez les tympans de toute façon. »

Les profs rassemblent les élèves de chaque maison et je m’approche du directeur lui disant.

« Je m’occupe de l’araignée ils sortiront qu’une fois qu’elle ne sera plus dans le château. »

Je me tourne vers Lizzie gardant mon air dur et m’approche d’elle d’un air décidé je regard figé sur elle nos visages plutôt proche s’approche ma mains d’elle est… Enlève cette foutue boucle d’oreille de trop je prends le poignet de Lizzie et pose la boucle d’oreille dans sa main sans un mot avec un légé ricanement quasi inaudible. Alors que tous les élèves sorte en groupe je m’apprête à sortir à mon tour pour traquer l’araignée qui franchement je ne me fait pas peur.

« FERMEZ TOUS VOTRE PUTAIN DE GUEULE LES LARVES !! »

Cassidy sursauta mais reconnut directement le langage de charretier de son Professeur de Défense Contre les Forces du Mal, celui qui ne la ménageait jamais. Mais pour une fois elle était d'accord avec son intervention parce que la panique avait envahi l'assistance et Cassidy avait un peu de mal à garder son Sang-Froid aussi.
La fuite de Marcus n'avait pas échappé à Cassidy qui regarda par l'ouverture des portes de la Grande Salle, l'air inquiet.

*Oh non ... Il va se faire tuer !*

Son instinct protecteur prit le dessus un court instant, mais le Professeur Bones leur demandait de se préparer à rejoindre leurs salles communes et d'y rester. La jeune Serdaigle se mit alors docilement en rang et guetta une occasion de filer qui se présenta très vite. Leur Préfet n'était pas très attentif, et il lui suffit de continuer à marcher toute seule à travers les couloirs.
Maintenant qu'échapper à la surveillance des Préfets était fait, il restait un problème : Où se trouvait Marcus ?
Cassidy s'élança sur ses traces un peu au hasard et décida de revenir vers la bibliothèque, au cas où il serait revenu sur les lieux du crime. En fait, elle ne voyait pas ce qu'il ferait d'autre que d'essayer de résoudre le mystère de cette agression !

Le regard vide et déterminé je me dirige vers la bibliothèque évitant habillement le professeur Bones qui allait vers son bureau et me dirige vers la bibliothèque. On dirait que je suis sortie juste à temps. Il va falloir que je me dépêche de trouver ce que je cherche avant que la très chère et piquante bibliothécaire Brooks ne revienne. Fixant avec attention la porte gravée de la phrase citée par le directeur. Que penserait Claire de tout ça ? Pensera-t-elle elle aussi que l’agresseur se bat pour une très bonne cause ? Pensera-t-elle aussi que cette élève aurait dû être tué plutôt que pétrifié ? Une voix familière me sort des réflexions : William. Tournant brusquement mon regard vers lui, je constate qu’il retient sa sœur pour je ne sais quel raison. Bon sang mais que font il ici ces deux la… Ils vont gâcher mon objectif. Profitons du fait qu’ils ne m’ont pas vu pour m’éclipser à l’intérieur de la bibliothèque.

La seule chose qui pouvait trahir ma présence et le grincement de la porte. J’entre donc dans la pièce avant qu’ils ne me voient et regarde autour de moi pour m’assurer qu’il n’y a personne d’autre ici. On n’est jamais trop prudent… Et puis va falloir que je trouve les pige de madame Brooks afin de pouvoir allé dans la réserve sans perdre une main.

Cassidy passa les couloirs un par un en prenant beaucoup de précautions, sa baguette était sortie, elle était prête à se défendre, si bien que lorsque William lui attrapa le bras, elle eut tout d'abord le réflexe de vouloir se défendre.

"Tu es fou, j'ai failli te lancer un sort Will' !"


D'un geste, elle lui intima le silence et guetta les bruits mais tout était silencieux. La Serdaigle était tendue comme les cordes d'un violon et après s'être assuré qu'ils ne courraient pas de danger, elle confia à William :

"J'ai vu Marcus ... Il faut aller le chercher avant que le monstre ne le trouve. Je ne rentrerai pas tant que je ne serai pas sûre qu'il soit en sécurité !"

Elle regarda William avec un air de défi. Qu'il essaye seulement de l'en empêcher ! De toutes façons depuis qu'il lui avait demandé de ne pas fréquenter Nicolas, Cassidy n'avait aucune envie de lui obéir.